*** Une sexualité bloquée ***

Leïla a 55 ans. Elle me consulte depuis quelques temps déjà. Aujourd’hui elle ouvre la séance sur ses ressentis survenus après la séance précédente qu’elle constate plus fluides et plus évidents. Parallèlement à ça, elle ne sait pas vraiment sur quoi travailler mais avant elle tient à me raconter son rêve de la nuit précédente. Il y est question de sa voiture qui tombe dans un lac et dont elle arrive à s’extraire suffisamment tôt pour pouvoir la voir lentement couler, mais aussi de son mari qu’elle cherche à rejoindre mais qui est introuvable.

Je tente alors d’explorer avec elle des pistes possibles sur la signification et la symbolique de ces éléments. Pêle-mêle ressortent, entre autres, les concepts du corps, de la sexualité, de l’archétype de la mère, de la gestation, de la purification et de la (re)naissance, l’évasion, le voyage.

Le test musculaire m’indique le besoin d’équilibrer un méridien par le biais d’un seul point. Ce point est nommé « psychosomatique ». Le terme « psychosomatique » trouve ses origines chez Freud qui étudiant l’hystérie a déterminé qu’un corps contraint et ne pouvant avoir accès au plaisir convertissait inévitablement cet empêchement en symptôme... Lire la suite ...  

 

*** La peur de l'eau ***

Katy a 66 ans. Elle a peur de l’eau depuis toujours et elle ne sait pas nager. Impossible pour elle de se baigner et même là où elle a pied, la hauteur de l’eau ne dépasse pas celle de ses jambes.

Le travail de kinésiologie que je propose consiste, entre autres, à travailler sur les croyances qui nous freinent et nous limitent. Elles sont de véritables obstacles qui entravent notre quotidien. Une croyance est une pensée fabriquée par notre cerveau. Nous développons tous des croyances. Sur nous, sur les autres, sur tout et ce dans tous les domaines de notre vie … et parfois même dans celle des autres.

D’autre part, la psychogénéalogie est également un de mes outils d’investigation et de correction. Elle est utilisée afin de libérer des blocages transgénérationnels qui nous empêcheraient de nous réaliser pleinement. Car tout comme nous héritons des traits physiques de nos ascendants, nous héritons également de leurs émotions, de leurs traumatismes et de leurs comportements.

Avec Katy, nous sommes vues plusieurs fois pour travailler sur des thématiques différentes avant et afin d’en arriver là. Aujourd’hui Katy, même si ... Lire la suite ...  

 

*** Guérir de sa famille ***

Est-il possible que notre passé, que l’on s’en souvienne ou non, soit consigné quelque part ?

Si une situation ne cesse de se répéter et qu’un même cycle se reproduit sous des formes différentes, il est possible qu’une blessure du passé soit à l’origine de cette répétition.

Nos gènes, nos ancêtres, peuvent-ils être à la fois la cause et la solution à nos problèmes ?

Quand on évoque le passé, on ne pense qu’à son vécu personnel, mais nos grands-mères, nos grands-pères et même nos propres parents font aussi partie de notre passé. Nos problèmes de santé, nos problèmes financiers ou personnels peuvent êtres liés à des blessures issues des générations passées.

Si on savait de quel façon le passé nous affecte, est-ce qu’on continuerait à le fuir ? Et si on arrivait à le fuir, est-ce qu’il continuerait à nous poursuivre ? Lire la suite ...  

 

*** Le synchronicités, ces mystérieuses coïncidences ***

C’est l’histoire d’untel, qui lors d’un événement auquel il ne voulait pas aller rencontre la personne qu’il fallait pour faire avancer son projet, ou d’un autre qui tombe pile sur l’annonce du logement idéal dans un journal laissé dans un bus qu’il n’a pas pour habitude d’emprunter, ou encore celle d’un dernier, qui, en pleine période de trouble et de questionnements entre dans une librairie et tombe sur l’information dont il avait besoin pour avancer, dans un livre ouvert machinalement. Qui n’a jamais vécu un jour ces « coïncidences mystérieuses » ?
Certains diront qu’il n’y a rien de plus ici que l’expression du pur hasard, ou le résultat d’une probabilité statistique certes mince, mais pas impossible, ou bien encore que ce n’est qu’une vue de l’esprit qui interprète la situation comme ça l’arrange.
Oui, mais ... Lire la suite ...   

 

*** Le prénom, fondement de l’identité & héritage des mémoires transgénérationnelles ***

Jung disait « Tout ce qui n'est pas porté à la conscience se transforme en destin. ». Le choix du prénom ne fait pas exception. En effet, le choix du prénom est intimement lié au projet familial (conscient et/ou inconscient) et peut de toute évidence influencer notre vie. Notre prénom est alors porteur d'une mission transgénérationnelle qu’elle soit consciente ou non. Les prénoms racontent de façon inconsciente l'histoire de la chaine généalogique dont l'enfant est le dernier maillon. Le prénom exprime un programme, une mission, un désir inconscient de la dynamique transgénérationnelle. La personne porte la charge émotionnelle liée à son prénom. Lire la suite ...   

 

*** Le manque de confiance en soi : plus qu'une cause, un symptôme ! ***

Le manque de confiance en soi peut se définir par un manque de connaissance de soi et par le fait de ne pas croire ni en son potentiel, ni en ses capacités. Il n'est pas une cause, il est un symptôme. Le manque de confiance en soi peut se caractériser par ... Lire la suite ... 

 

*** Les traumatismes en héritage ***

Les traumatisme peuvent se transmettre sur plusieurs générations. C'est la théorie défendue par l'analyse transgénérationnelle et l'épigénétique. Si d'un côté on a la psychogénéalogie, la partie psychologique de la transmission des traumatismes qui permet de voir comment notre place dans la famille peut avoir l'influence sur notre vie ; de l'autre côté, on a l'épigénétique, l'aspect biologique qui vient expliquer comment les traumatismes se transmettent par l'hérédité génétique. Lire la suite ... 

 

*** Apprivoiser son ombre ***

Nous avons tous nos parts d'ombre. Parfois elles nous pèsent, voire nous empêchent de vivre librement. Elles nous poussent la plupart du temps à nous mettre dans des situations qui ne nous conviennent pas, à endosser des rôles où nous ne nous reconnaissons pas, à répéter des comportements qui ne nous rendent pas heureux. Cette face cachée de notre personnalité peut ... Lire la suite ...  

 

*** Le poids des traditions familiales ***

Nicolas a 40 ans. Il travaille dans une entreprise familiale dans l’agriculture. Il n’est pas épanoui dans son travail. Il n’est pas épanoui dans sa vie. Il se cherche. Il cherche sa place. Il cherche un sens à tout ça. Il a souhaité me rencontrer parce qu’il a récemment pris conscience de la possibilité d'un blocage, cet héritage familial qui l’empêche de se réaliser comme il le souhaiterait. Il sait que sa famille représente un poids qui le freine et dont il aimerait se libérer. Il m’informe au passage qu’il a récemment appris qu’avant lui sa mère attendait une fille qui aurait dû s’appeler Nicole. Lire la suite ...  

 

*** Refuser d'aimer par peur de souffir ***

Valentine a 20 ans. Elle vient de rencontrer un garçon et une éventuelle relation sérieuse lui fait peur. Elle ne comprend pas pourquoi ce garçon s’intéresse à elle. Elle a eu des expériences qui se sont mal terminées avec d’autres garçons. Des relations qui l’ont blessée. Des relations qui l’ont mise en colère. Elle n’a pas confiance en eux. Elle n’a pas confiance en elle. Ce jour-là, nous commençons avec la bioénergie. Lire la suite ...  

 

*** La communication non violente – un trésor relationnel ***

Lorsque dans une conversation nous sommes face à des différends, assez souvent nous essayons d’argumenter afin d’avoir raison. Nous nous retranchons alors dans nos jugements, dans nos croyances, dans nos pensées binaires et dans nos « Il faut ». Ces réactions de surface s'avèrent être totalement déconnectées de nos ressentis ainsi que de nos besoins fondamentaux et elles représentent les quatre pièges les plus courants destructeurs d'une communication non violente. Ces besoins nous animent tous. Lire la suite ...  

 

*** Prendre sa place ***

Nathalie à bientôt la cinquantaine. Elle est mariée et mère de deux grands enfants. Elle est comptable. Mais ce métier elle l’aime uniquement pour les relations humaines et les conseils qu’elle prodigue. Elle veut accompagner les gens autrement. Elle veut les accompagner pour qu’ils se sentent mieux. Elle a commencé une formation il y a plus de 3 ans, à son rythme. Tant qu’elle était en formation, elle ne se sentait pas légitime dans sa pratique et dans sa posture, ce qui l’arrangeait. Elle vient de la terminer. Maintenant il est temps pour elle de sauter le pas de la professionnalisation, mais elle en est incapable. Elle pense ne pas être à la hauteur et surtout ne pas être légitime. Nathalie n’a jamais vraiment su prendre sa place, éteinte par Lire la suite ...  

 

*** Le deuil d'un idéal  ***

Patrice a 74 ans. Après avoir traversé une dépression, il estime que le moment est venu de penser de nouveau à lui et de se débarrasser de ce célibat et de cette solitude lui pèsent. Nous nous sommes vus plusieurs fois. Lors de la dernière séance, nous avons travaillé sur son besoin d’amusement, de légèreté, sur cette autorisation à prendre du plaisir sans culpabiliser, sur ce qui le bloquait pour y arriver. Dans sa famille, prendre du plaisir à faire les choses était sujet à des critiques et était synonyme de pas fiable. Depuis cette séance, il a réussi à prendre du plaisir, à la fois seul et avec ses amis. La séance d’aujourd’hui nous emmène sur le besoin de faire un deuil. Lire la suite ...  

 

*** Un père autoritaire ***

Myriam a 55 ans. Elle a quatre grands enfants de deux pères différents et trois petits enfants. Elle est actuellement en couple avec un homme autoritaire et très ordonné chez qui elle vit. Son père, ce père si autoritaire et parfois violent, dont le métier demandait une grande mobilité, était soit absent sur de longues périodes, soit contraint de changer de logement. Par conséquent, soit elle était seule, dès un très jeune âge à devoir gérer une maison et un petit frère, soit elle perdait ses maigres repères et amis en déménageant souvent. Lire la suite ...  

 

*** La culpabilité, cette émotion qui nous dévore ***

Françoise a 60 ans. Elle a aujourd’hui, plus que jamais, besoin de s’affirmer. Elle sait que son corps lui intime de le faire. Ses cervicales et son dos s’expriment par la douleur. Elle sait qu’un changement interne est nécessaire, mais elle ne sait pas comment faire. Elle ne sait pas comment être intègre envers elle-même, elle ne sait pas comment montrer à l’extérieur ce qu’elle est et pense à l’intérieur. Elle est partagée entre l’angoisse et la tristesse de ne pourvoir le faire. Lire la suite ...  

 

*** De l’ombre à la lumière ***

On s’évertue à vouloir se débarrasser de notre part d’ombre. Soit on l’étouffe, soit on la nie, soit on charge l’autre de tous les comportements dérangeants que l'on a manifestement soi-même. Alors qu’il suffirait simplement de la reconnaître et de l’accueillir … Lire la suite ...  

 

*** La kinésiologie, outil de désinstallation de nos « applications malveillantes » ***

Nous naissons avec des logiciels déjà installés. Notre cerveau nous est fourni avec des « applications » déjà implantées. De plus, dans notre jeunesse, sans que nous nous en rendions compte, d’autres « applications » sont téléchargées dans notre vie mentale. Ces « applications », innées et acquises, sont à la fois installées par nos ancêtres, nos parents, nos enseignants, nos institutions, nos pairs ou notre société. Lire la suite ...  

 

*** Alertes Rouges ***

Un cycle de menstruation s’étale généralement de 26 à 32 jours avec des saignements qui durent en moyenne de 4 à 6 jours. Le flux sanguin d’écoulement doit être uniforme, en quantité modérée, de couleur rouge moyenne, sans caillot. Il est censé être sans douleur physique avant, pendant et après ; sans inconfort et sans tension émotive. Lorsque le cycle d’une femme est déséquilibré, il s’exprime par divers symptômes. Lire la suite ...  

 

*** Troubles intestinaux ou la mauvaise digestion émotionnelle ***

Les liens très étroits entre le cerveau et l'intestin ne sont plus à faire. C’est dans ce contexte là que le concept de digestion mentale prend tout son sens. Il est donc ici question d’expériences émotionnelles vécues qui ne sont pas correctement digérés et qui entraînent des problèmes intestinaux. « Boule au ventre », « Nœuds à l'estomac ». « Rate au court-bouillon », « Papillons dans le ventre »… toutes ces expressions sont le signe que notre système digestif est facilement réactif aux états émotionnels. Lire la suite ...